| Sujet: Galerie poétique de Kuna Sam 22 Nov 2014 - 13:42 | |
| Yo tout le monde! Ici je vais mettre tout les textes que j'ai écris, histoire de passer le temps si vous vous faites chier x) et puis comme ça vous me donnerez votre avis :3 Enjoy! - A l'aube du crépuscule:
A l'aube du crépuscule
Tout le monde a un moment préferé dans la journée. Certains aiment le matin, car ils peuvent faire la grasse matinée. D'autre le début d'après-midi, car ils ne sont justement pas du matin. Certains préfèrent le soir, pour prendre un repos bien mérité. J'ose à m'affirmer "différent". Je préfère ce moment qu'on appelle le "crépuscule". Il m'a toujours fasciné. Un moment sombre, triste, ou l'on entend les murmures du vent, les complaintes des âmes égarées. Un moment ou les premières étoiles commencent à scintiller, un moment ou le froid du temps et du vent vient tout figer. Par moment, une voiture passe, cassant ce vide. Mais le silence revient, plus bruyant, et laisse place aux chuchotements du soir. Le temps lui même semble triste, sombre, vidé de toute force, de toute lumière. La fraicheur vient alors, comme pour embrasser ce moment. On se sent alors transi de froid, pris dans la tourmente de la nuit, et comme seul guide la clareté de la lune. Seul repère humain. Ce qu'il y a de plus fascinant, c'est de se dire que c'est le commencement. Le commencement d'un jour nouveau, le commencement d'une vie nouvelle. Ce crépuscule, si sombre, si vide, fera ensuite place aux premiers rayons du Soleil, rendant vie à ces paysages presques morts. A ce moment la, je viens à m'en demander: "Est-ce ça la vie?" Tout détruire pour tout recommencer, répéter encore et toujours les mêmes gestes, les mêmes mécaniques... L'idée me plait bien...
- Amour illusoir:
Amour illusoire
Il est seul. Il repense à elle. Il l'aime depuis longtemps, mais elle non. Elle ne veux pas l'aimer, par peur de le perdre. Au début, ils étaient bons amis. Sauf qu'au fil du temps, les sentiments d'amitié qu'il éprouvait pour elle se sont changés en amour. Ils ne pouvaient plus être de simples amis, mais elle ne le savait pas. Il a tenté de garder sa pour lui longtemps, mais sa devenait impossible. Alors un jour, il le lui avoua. Au début, elle pris sa pour une blague, mais elle compris qu'il étais sincère en voyant son air sérieux. Alors, elle lui promis d'y réfléchir. Les jours passèrent, ils ne se voyaient plus. Trois semaines plus tard, elle lui envoya un message ou elle lui donnais rendez-vous. Il y alla. Elle l'attendais, un grand sourire aux lèvres. Elle lui avoua qu'elle aussi elle l'aimait, alors ils s'embrassèrent et commencèrent à sortir ensemble. Ils étaient heureux. Mais elle se sentait gênée. Il le remarqua et elle lui avoua ne pas se sentir très à l'aise avec lui. Il pensait que c'était normal, qu'elle s'y ferait avec le temps, mais elle trouvait que cela empirait de jours en jours. Elle se sentit obligée de le lui dire. Alors elle lui donna rendez-vous au même lieu que la première fois. Il y alla stressé. Il la trouva là-bas et la pris dans ses bras. À ce moment la, elle se mît à pleurer. Elle lui avoua tout, en larme. Puis elle partit. Ils ne se voyaient plus, ne prenaient plus de nouvelles l'un de l'autre. Alors, trouvant tout cela trop difficile, il retourna au lieu de rendez-vous qu'il aimait tant auparavant. Maintenant, il y est. Il a quelque chose dans sa poche. Il attend... Il pleut. Il regarde le ciel, et verse une l'arme. Il sort l'objet de sa poche. Un cran d'arrêt, usé. Il l'approcha de son poignet. Étranglé par les larmes, il murmure difficilement "pardonne moi" avant de se taillader les veines. Il voit tout noir, il a de plus en plus froid... Elle est en face de "lui", elle pleure. Elle regrette le temps ou elle étais avec lui. Elle répète "pourquoi?" , il lui manque. Maintenant, elle ne peux plus faire marche arrière. Elle qui tenais tant à lui, elle l'a perdu en voulant le garder, après l'avoir aimé. Aujourd'hui, elle est seule. L'amour la répugne, elle ne veux plus aimer. Elle voudrais se tenir auprès de lui, qu'il la prenne dans ses bras. Mais tout ce qu'elle peux faire, c'est se tenir devant sa tombe, à lui, un bouquet a la main, et pleurer...
- Entre l'idéal et la réalité:
Entre l'idéal et la réalité
On ne peux poursuivre un idéal, on en rêve. Un idéal est un idylle, une utopie. Dans ce cas, on fuit la réalité. Moi même j'en ai peur. Elle est trop difficile à accepter à mes yeux. La société actuelle ne me convient pas. Trop de problèmes, de sang, de larmes versées. C'est pourquoi je me cache dans mes rêves. Oui, c'est du Bovarisme. Mais à chaque fois que je sors de ces rêves, la réalité refait surface, elle me revient en plein visage. Cela doit être pour sa que les gens ne m'acceptent pas. Ils sont dans la réalité, la ou je ne suis pas. Je préfère mon univers, la ou tout est permis. Même aimer. Mais à force, c'en est lassant. Je n'ai le droit d'aimer comme tout le monde, car c'est un sentiment réel. C'est encore plus difficile lorsqu'il n'est pas partagé... Trop de souffrances, trop d'incertitudes, à chaque fois... Alors j'en rêve, sans jamais l'obtenir, encore moins de celle que j'aime. Mais tout rêve est illusoire, se retrouve confronté à la réalité. A ce moment la, le rêve meurt... Et toi, te réfugies-tu dans un idéal? Ou alors est-tu capable d'affronter la réalité?
- Holdies:
Holdies
Elle venais d'arriver dans son nouveau lycée. Le principal l'emmena dans sa nouvelle classe. On la fit entrer, elle se présenta, et on lui assigna une place. A côté d'elle, un garçon à l'air rêveur, le regard perdu dans le vide. Il regardait le ciel à travers la fenêtre, et n'avait pas vu sa nouvelle voisine de table arriver. A quoi pouvait-il bien penser? Cela ne l'importait pas. Elle le trouvait même plutôt mignon. Soudain, il tourna la tête et la vit. Elle trouvait ses yeux d'un bleu abyssal absorbant. Lui aussi la contemplait. Il lui adressa un sourire, puis il s'en retourna dans les nuages. Elle se sentait gênée et heureuse. Puis vint l'heure du midi. Elle avait déjà sympathisé avec quelques personnes, mais préféra retrouver son voisin de cours. Tous furent étonnés, puis lui révélèrent des rumeurs à son sujet. Elle appris qu'il passait sa journée sur son ordinateur et ne parlais à personne, et qu'il n'avait pas d'amis. Énervée, elle quitta le groupe, sans leur expliquer pourquoi, mais ils virent qu'elle ne changerais pas d'avis. Ils partirent. Elle arriva dans le self, et le vit seul sur une table. Elle le rejoignit. Il fut étonné, et lui demanda ce qu'elle faisait là. Elle lui dit qu'elle voulait apprendre à le connaître. Il en fut heureux. Ils parlèrent donc l'un de l'autre. Lui étais fan d'informatique, et travaillait sur le développement d'un nouveau jeu. N'étant pas fan de cela, elle se surpris à y trouver un bon intérêt. Ensuite, elle lui parla d'elle. Elle faisait de l'équitation. Cela le fit sourire.Il aimait beaucoup les animaux. Elle en était contente. Puis elle lui avoua souffrir d'une étrange maladie incurable, et ce depuis sa naissance. Il était inquiet. Elle le vit et le rassura en lui disant que ce n'étais pas grand chose, et qu'il n'y avait rien eu en étant lié depuis plusieurs années. Il en fit rassuré. Au fil du temps, ils apprirent à se connaître. Plus le temps passait, plus elle l'aimait. Le seul soucis étais qu'elle ne voulais pas lui dire. Mais malgré cela, ils étaient tout le temps collés ensembles. Les autres lycéens ne voyaient pas cela d'un bon œil. Ils répandirent de fausses rumeurs sur elle. Il en appris quelques unes. Il alla la voir. Elle lui dit soudain qu'elle voulait lui parler d'un sujet important. Elle le pris dans ses bras, le regarda droit dans les yeux, et lui dis "je t'aime" en tentant de l'embrasser. Il s'énerva, lui cria dessus, la traita de menteuse, et elle se mit à pleurer. Il partit. Elle ne comprenait pas car on lui avait révélé qu'il l'aimait. Soudain, elle sentit une vive douleur dans la poitrine, et sombra dans le noir... *** Cela faisait plusieurs jours qu'il ne la voyait plus. Il se sentit coupable et voulais s'excuser. Il ne la trouva nul-part. Le principal, le voyant seul, lui demanda pourquoi il n'allait pas la voir a l'hôpital. Il y partit en courant. Il trouva sa chambre. Elle était reliée à pleins de tuyaux. Elle le vit, tenta de se relever, mais une trop forte douleur l'en empêchait. Il s'excusa. Elle sourit. D'un coup, les machines s'emballèrent. Elle faisait une attaque. Les médecins tentèrent de la garder en vie, mais bientôt, après avoir pleuré de douleur toutes les larmes de son corps, elle s'arrêta net. Elle planta son regard dans le sien. Elle lui dis une dernière fois "je t'aime". Elle partait. "je suis heureuse de t'avoir rencontré.. Tu sais, je me sentais vraiment bien auprès de toi.. Mais je dois y aller. Je pars la première, je te garde une place la haut. Mais jure moi de faire tout ce que tu dois accomplir ici avant de me rejoindre." Bientôt, on n'entendis que le "biiiiiiiiiiip" constant de la machine. *** Une larme roula sur sa joue et tomba sur elle. Il saisit sa main, et lui murmura a l'oreille "Moi aussi je t'aime.."
- Enfin aimer:
Enfin aimer
Ça y est, je comprend ce sentiment. L'amour. "L'amour" me demanderez vous? Eh bien oui. Il y a peu, elle m'y a offert l'accès. Je la connait depuis bientôt 1 an, et depuis ce temps j'ai toujours tout fait pour la rendre heureuse. J'ai été la pour l'aider à affronter ses peines, la voir sourire, l'entendre rire... Mais jamais je n'aurais cru que je puisses un jour devenir celui qui puisse la rendre tellement heureuse. Je n'aurais jamais cru qu'elle puisse me le demander... * Grace à toi, je reprend confiance en moi, et je ferrais tout pour continuer à te rendre heureuse. Tu es celle qu'il me fallait, avec toi je me sens vraiment vivant. J'aime tellement te prendre dans mes bras, embrasser tes lèvres si douces... Oui c'est de toi que j'ai besoin, et je te remercie de m'avoir choisi parmis tant d'autres. * Quand je te dis "je t'aime", je sais que tu me comprend, mais j'ai l'impression de ne m'exprimer qu'à moitié. J'aimerais te faire comprendre à quel point cet amour que je ressent pour toi est immense, à quel point tu m'es précieuse et importante. Tout ce que je veux, c'est pouvoir te rendre heureuse, te prouver à chaques instant de ma vie que je t'aime. * Tu m'es devenue tellement importante. Tu es l'air que je respire, le soleil qui me réchauffe... Tu es tout pour moi. Mais encore plus, tu es celle que j'aime, et ça personne ne me l'enlèvera. Je t'aimerais toujours, quoi qu'il arrive. Je t'en fait la promesse.
- Triste mélancolie:
Se sentir vide. C'est attroce, on peu en souffrir tellement longtemps. C'est mon cas... * En ce moment, je ne comprend plus ou j'en suis dans ma vie. Quelque chose m'attend peut être au tournant, mais je n'en ai plus rien à faire de ça. Je veux juste me laisser partir. Quand une journée commence, je me pose toujours cette question: "pourquoi continuer?"; et quand elle se finit, je me demande: "et puis quoi? Demain?". Je ne sais plus ou j'en suis. J'ai une nausée perpétuelle, des idées envahissantes, toujours à me remettre en doute. Je me dois d'être fort pour ceux qui compte sur moi, mais je n'y arrive pas. Pas que je voudrais mettre fin à ma vie, même ça je n'en aurais pas le courage. Mais tout bien même je me sens las et vide. J'ai besoin d'amour, de réconfort. Tu auras su m'en donner comme tu auras su tout briser... Malgré ça, jamais je ne réussirais à t'en vouloir. Tout ce que j'ai fais, c'est t'aimer. Je n'aurais peut être pas du. Tu m'as apporté des moments de joie que je n'avais jamais connu, tu m'as fait ressentir des choses que je pensais mortes. Je ne te remercierais jamais assez pour tout ça. Mais aujourd'hui, plus rien. Tu ne veux plus de moi, je te comprend. Saches que ça me fait mal, mais peut être je pourais oublier vite. Je donne l'illusion d'aller bien, j'ai peut être pris à la légère ce que tu m'as dis, mais maintenant je m'inquiete vraiment. Je te veux auprès de moi, dans mes bras, t'embrasser, continuer à t'aimer. Tout cela fait surement partie du passé maintenant, tu t'en irra bientôt, dans les bras d'un autre, me laissant seul avec mes espoirs de te retrouver un jour. Tout ce que je réussirais à faire c'est te considérer comme la grande amie que tu as toujours été, tout en gardant pour moi mes larmes et mes sentiments amères de solitude. Des larmes? Je n'en ai pas encore versé pour le moment, mais je n'arrive plus à pleurer... Je l'ai déjà trop fait auparavant. Mais j'en verserais surement plus tard, quand je me rendrais compte que je t'aurais définitivement perdu. Tu as été tout pour moi, et aujourd'hui tu risques de ne plus être rien. Je me suis forcé à sourire, à penser que tout irrait bien, mais la solitude m'a rattrapé. Je me sens délaissé, vide, et j'ai peur. Je n'arrive plus à être heureux, j'ai besoin de ta présence auprès de moi, de tes douces lèvres contre les miennes, te sentir ton corp contre le mien quand je te prend dans mes bras... * Malgré ça, je dois être heureux. Je me forcerais à l'être, je jouerais de mon petit talent de comédien pour arborer ce masque de fausse joie que je dois garder, pour rassurer tout le monde autour de moi, même si, intérieurement je me sens mal, détruit. Je ferais avec... * Je dois juste attendre ta réponse, savoir si tu m'aimes encore ou pas, mais j'attendrais. Je le dois, je n'ai pas le choix... * Je suis seul à me regarder devant le miroir, des musiques tristes en fond sonore. Je devrais pleurer non? Si elle me manque, pourquoi je n'y arrive pas?
Dernière édition par Kunameda le Mer 7 Jan 2015 - 11:04, édité 4 fois |
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